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Pesticides et fécondité ... - par l_ecoleau le 02/11/2008 ¤ 09:43


Les jeunes espagnols en perte de fécondité


D’après une récente étude de l’Institut Marques de Barcelone, spécialisé dans les traitements contre la stérilité, près de la moitié des jeunes espagnols aurait un sperme de mauvaise qualité au regard des critères avancés par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé). L’enquête a ainsi révélé que sur les 1 239 échantillons de sperme prélevés, 57,8 % présentaient une sous-fécondité, autrement appelée dans le jargon médical « qualité séminale anormale ». Ce constat variant notablement d’une position géographique à une autre, les plus faibles proportions de spermatozoïdes contenus dans le sperme ont été constatées dans les régions fortement industrialisées.

Selon l’institut hispanique, la cause de cette raréfaction des spermatozoïdes pourrait remonter avant même la naissance des individus, lesquels seraient exposés à l’état embryonnaire à des perturbateurs endocriniens assimilés via le cordon ombilical. Principalement issues d’activités agro-industrielles, les substances incriminées s’accumuleraient dans les graisses, y compris dans le lait maternel, et agiraient au sein de l’organisme comme des hormones féminines. Au regard de quoi, l’exposition pourrait se prolonger au cours de l’allaitement.

Si l’institut laisse planer peu de doutes sur les facteurs environnementaux responsables de cette perte de la fécondité, il se montre en revanche plus incertain sur les conclusions à en tirer sur le long terme. En effet, bien que cette frange masculine de la population espagnole, âgée de 18 à 30 ans, soit désormais prédisposée à la stérilité, le diagnostic ne se veut pas inéluctable.

Ces déclarations font écho à une enquête menée en avril dernier par l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), corroborant la chute de la fécondité des Français et présageant un recours croissant à l’insémination artificielle. 


06/10/2008  Cécile Cassier


Demain tous convertis à l’insémination artificielle ?


Au cours des années passées, de nombreuses études ont mis en évidence la dégradation de la qualité du sperme, due notamment à la pollution et aux pesticides, ainsi que l’élévation de l’âge moyen auquel les femmes ont leur premier enfant.

Pour évaluer l’impact de ces deux facteurs sur la fécondité des couples français, deux chercheurs de l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), Henri Leridon et Remy Slama, ont réalisé une étude basée sur une simulation du comportement reproductif d’une population de 100 000 femmes nées en 1968.

Contre toute attente, l’enquête a révélé que la diminution de la fertilité masculine et l’âge de plus en plus élevé de la mère lors de la naissance de son premier enfant avaient eu jusqu’alors peu d’incidence sur le nombre final d’enfants par femme.

En revanche, le recours à la procréation assistée pourrait bien se généraliser pour compenser ces nouvelles tendances. Ainsi, si une baisse de 15% de la fécondité ne ferait passer le nombre d’enfants par femme que de 2 à 1,92, elle s’accompagnerait parallèlement d’une hausse de 73% d’éligibilité à la procréation médicalement assistée.
Le retard de l’âge moyen de la femme à son premier enfant, actuellement estimé à 29,8 ans, est encore plus déterminant. Un recul supplémentaire de 69 mois (5 ans et 9 mois) conduirait à une augmentation de près de 80% d’éligibilité à l’insémination artificielle.

Au final, plus d’un couple sur 5 pourrait se tourner vers la fécondation in vitro à l’avenir contre un peu plus d’un couple sur 10 actuellement. Si les effets ne se sont pas encore faits sentir à court et moyen termes, la fécondité française pourrait bien finir par payer le contre-coup de ces difficultés de procréation liées à nos modes de vie modernes, notamment en raison de coûts élevés qui restreignent l’accès à la fécondation assistée. 


25/04/2008   Cécile Cassier


Fertilité humaine: les perturbateurs endocriniens sur la sellette


A une semaine d’un colloque européen consacré au risque potentiel pour la fertilité lié aux perturbateurs endocriniens, Nathalie Kosciusko-Morizet a annoncé lors d’une conférence de presse des mesures de prévention pour les femmes enceintes et les nouveau-nés.


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