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"Jusqu'à ce que la douleur le lui enseigne , l'homme ne sait pas quel trésor est l'eau"

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Pollution de l'eau - .. médicamenteuse


Médicaments dans l’eau du robinet: le Royaume-Uni s’interroge


L’inspection de l’eau potable (DWI) britannique, chargée d’évaluer la qualité de l’eau en Angleterre et au Pays de Galles, publie un rapport établissant que des substances pharmaceutiques se retrouvent dans l’eau distribuée, en dépit des traitements appliqués par les entreprises. D’après un article du Telegraph, l’étude réalisée par des consultants recommande de rechercher la présence de certains médicaments dans l’eau du robinet, après que des traces de bléomycine (anti-cancéreux), et de diazépam (anxiolytique), ont été détectées dans des échantillons d’eau distribuée. Les doses sont toutefois trop faibles pour induire un risque pour la santé. «Les recommandations sont en train d’être analysées. Il s’agira notamment de conduire des tests sur l’eau potable», a déclaré Sue Pennison, du DWI.


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La question des effets des médicaments présents dans l’environnement reste ouverte


L’éco-toxicologie des substances médicamenteuses constitue un sujet émergent. Si les informations sont peu nombreuses, plusieurs études devraient apporter des éclaircissements au cours des prochains mois.

À l’heure actuelle, plus de 4.000 molécules actives sont utilisées dans la formulation de médicaments à destination humaine ou vétérinaire. Une fois consommées, ces substances et leurs métabolites sont rejetés par l’organisme et se retrouvent plus ou moins directement dans l’environnement à travers les eaux usées des hôpitaux, des logements ou encore des exploitations agricoles. Si la surveillance et la mesure des polluants ont fortement progressé ces trente dernières années, elles se sont principalement concentrées sur les produits chimiques et les pesticides mais très peu sur les médicaments. Un programme de recherche français lancé en 1996 baptisé PNETOX a permis d’avoir une première vue d’ensemble de la situation. Depuis, plusieurs études sont venues compléter ces observations et ont révélé la présence en faible quantité (µg/l) d’hormones naturelles et de synthèse, d’antibiotiques, d’antiparasitaires, de produit anti-cholestérol ou encore d’anti-cancéreux radioactifs, dans les cours d’eau, les eaux souterraines et parfois dans l’eau potable. Ces molécules, les plus utilisées mais pas forcément les plus toxiques, ne sont pas éliminées par les stations d’épuration et les installations de fabrications d’eau potable qui n’ont pas été conçues dans ce sens. Il peut même se produire parfois une transformation en métabolites actifs au sein des installations. Certains médicaments peuvent également être absorbés dans les boues issues du traitement des eaux et on ignore quel est leur devenir en cas d'épandage dans les sols agricoles.


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Les médicaments rendent les rivières malades


Via les urines, des résidus de médicament se retrouvent dans l’eau des rivières. Des chercheurs ont identifié dans les cours d’eau français des résidus de molécules d’ibuprofène et de paracétamol. Mais aussi des composants de pilule contraceptive, traitements de la ménopause, antidépresseurs, anticancéreux, antibiotiques... C’est en observant la féminisation des poissons mâles dans certains cours d’eau que l’on a suspecté l’action des contraceptifs. « Tout ce qui est consommé, nous le trouvons dans l’eau à plus ou moins grande échelle, rapporte Hélène Buzinski, chercheuse au CNRS et à l’université de Bordeaux, une des premières à s’être intéressée au problème en 2002. Même des résidus d’héroïne et de cocaïne ! »

Les stations d’épuration ne sont pas assez puissantes pour éliminer ces molécules, que l’on ne commence à détecter que depuis une dizaine d’années. À mesure que les rejets industriels, pesticides, métaux lourds étaient mieux traités, des pollutions de plus en plus fines ont été relevées. Les molécules médicamenteuses sont de l’ordre du nanogramme par litre.

Les dizaines d’études en cours sur le sujet ne sont pas pour rassurer. Ainsi le projet Amperes qui, mené par le Cemagref, l’université de Bordeaux et Suez, vise à vérifier l’efficacité des stations d’épuration, les micropolluants qui échappent au traitement et leur impact. « Les concentrations en médicaments sont faibles, il n’y a pas d’effet brutal, mais il existe une imprégnation chronique dont nous mesurons mal la toxicité à long terme, » résume Marina Coquery, coordinatrice d’Amperes.

L’Académie de pharmacie s’est, elle aussi, penchée sur les rivières.

.../...


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Date de création : 16/01/2008 ¤ 18:35
Dernière modification : 26/10/2008 ¤ 00:15
Catégorie : Pollution de l'eau
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